Mariesu au pays de l'or noir

Après mes tribulations au pays du Soleil Levant, découvrez mes aventures de stagiaire en expatriation à Port-Gentil et Pointe-Noire (coming soon^^)

Monday, October 31, 2005

Un peu de culture (I)

Bonjour à tous!
Hier, après s'être gentillement remis de notre soirée de vendredi, le former BirthdayBoy, Andrew le ricain, Jennifer la hollandaise et moi même avons décidé qu'après presque un mois ici sans réelle visite culturelle, il était temps de faire quelquechose. Parce que c'est vrai que les soirées-découvertes-du-pays-hôte sont certes très intéressantes, mais point trop n'en faut, et puis, faut pas déconner quand même, je suis dans une ville qui pourrait etre dans son intégralité classée patrimoine culturel de l'humanité, et pour l'instant, à part le Kiyomizu-dera, visité y'a deux ans, j'ai rien vu.

Donc, direction l'autre bout de la ville (soit environ 5km) avec nos vélos, pour visiter LE truc le plus couru au Japon, le Kinkaku-ji, soit Golden Temple, soit Pavillon d'Or. Comme vous pouvez vous en douter, le batiment est tout jaune...Après une bonne heure de vélo, vraiment pas facile, eu égard à la considérable surcharge pondérale de Sebastian (qui a quand meme tenu à manger, une fois arrivés au temple), à toutes les familles qu'on a failli tuer sur les trottoirs en roulant comme des malades, et à Andy qui a vraiment failli se prendre un scooter en grillant un feu, on arrive enfin au temple. Comme c'est le Japon, la place était forcément blindée, surtout que c'est bien marqué dans tous les guides qu'il vaut mieux éviter de faire ce genre de visite le dimanche.



Bon, on va pas faire sa Française de base et râler. C'est vraiment un endroit magnifique et tellement paisible (comme tellement de places typiquement nippones). Alors ce qu'il faut aussi ajouter c'est qu'en fait, ce bâtiment là n'est pas l'original. Mais, il représentait tellement pour les Japonais, et il est tellement beau aussi qu'il a été reconstruit et qu'il reste, même si c'est un ersatz, un monument incontournable et ultra prestigieux de l'Archipel. Le truc qui fait tout le charme de l'endroit, c'est 1.la verdure (plutot orange à cette époque de l'année, mais justement, c'est encore plus beau), et 2.le reflet du pavillon sur l'étang qui l'entoure, et 3.quand le soleil se montre, c'est réellement un orgasme visuel (quoiqu'un peu éblouissant).

Mis à part le temple en lui même, il y a un petit chemin escarpé qui mène à un micro-temple où tout le monde prenait des photos d'une salle vide, dont nous, pauvres gaijins ignorions totalement la signification (d'ailleurs, si quelque sempai passant par ici savait, merci de laisser un commentaire afin de ne pas me laisser dans l'obscurité de l'ignorance). Bref, le petit chemin en questoin est bordé d'un autre étang, plein de micro-îles ou il y a seulement la place pour une statue. Les arbres sont magnifiques, de l'avis de tous, beaucoup plus 'cool' qu'en Europe ou aux States. Moi, au fond, je pensais quand même que tous ces étangs et tous ces arbres me rappelait un peu la Sologne, et je me suis surprise à avoir un petit pincement au coeur, parce qu'il doit être pas mal mon 'pays' en ce moment et que la forêt doit sentir bon.



Pour la petite histoire, Kinkaku-ji (enfin le bâtiment original) a été construit en 1397, par Ashikaga Yoshimitsu, un shogun. Comme tous les shoguns, il avait beaucoup de sous, et s'est fait construire cette petite mansarde et le lopin de terre autour pour ses vieux jours. Comme tous les shoguns, il était un peu mégalo et il a donc fait ériger le Pavillon à sa propre gloire, et a exigé que sa villa devienne un temple après sa mort (normal, c'est pas le seul à avoir fait ca). La bicoque a donc traversé les âges et les guerres jusqu'à ce qu'un moine fanatique, completement in love avec le temple, le fasse brûler en 1950. Le bâtiment actuel a été construit en 1955, les plans respectant fidèlement ceux du bâtiment original.



Une visite bien sympathique en conclusion, surtout que le calme qui m'a envahi pendant la visite a grandement aidé à ma non-consommation de clopes pendant plusieurs heures consécutives (oui! j'arrête de fumer, c'est décidé!!!). Après ca, on est allé manger dans un restau de curry (une grande assiette avec sur la moitié du riz et sur l'autre plein plein de sauce avec du poulet, une omelette, du boeuf ou ce que tu veux) pour le goûter. Voilà un truc que je n'osais pas essayer, mais je dois bien avouer que c'était excellent, surtout parce que très très épicé. Comme quoi, on dirait que la réconciliation entre le manger nippon et moi est en marche. D'autant plus que qui dit plus de cigarette, dit la dalle tout le temps, dit grosse compensation avec le manger, dit nouvelles expériences culinaires parce qu'au bout d'un moment les memes gateaux au chocolat commencent à peser sur l'estomac...
Maintenant, chers amis du monde entier, je vous tire ma revérence et vais aller au restau, manger un okonomiyaki (tu fais chauffer ton manger sur la table, dûment équipée pour) avec Kurikun qui m'invite. A très vite!

Saturday, October 29, 2005

Une soirée comme on les aime (ou de la meilleure humeur de Su)

Amis du monde entier, je vous salue !
Vus les commentaires que j ai pu lire suite à mon précédent post, je dois bien dire que je vous m'avez tous bien réchauffé le coeur. Arigato Gosaimashita à vous tous! De toutes façons, le lendemain, ca allait mieux et depuis, j ai repris du poil de la bête, comme on dit chez moi.
Donc, comme vous me connaissez, j'étais tout naturellement grandement disposée, hier soir, à dûment fêter les 23 ans de Sebastian, mon cher ami biologiste d'Heidelberg (Deutschland).


Le BirthdayBoy et la tite Su

Alors, comme on est au Japon, il faut faire la fête comme des Japonais, afin de mieux appréhender cette culture si différente de la notre...enfin ca dépend pour quoi. Bref, nous voilà donc partis pour Watami, un hizakaya de Sanjo. Pour les néophytes, un hizakaya est une sorte d'auberge, où tu dois retirer tes pompes à l'entrée et les ranger dans un casier (comme à la piscine, mais là, la clé est généralement en bois...). Pendant le reste de la soirée, tu disposes avec tes potes d'une salle, et t'as meme une petite sonette pour faire les commandes. Dans ce type d'établissement, autrement nommé 'restaurant à pieds' par Peste&Choléra, tu es sûr de passer une bonne soirée, tranquillou, d'autant plus que chez Watami, tu payes 3000Yen, et pendant 2heures, c'est open-food et open-bar...Je ne vous raconte pas l'orgie, vous pouvez aisément l'imaginer.


Campai! C'est le 'Prost' nippon, signifiant littéralement 'Vidons nos verres!'.

Résultat du dîner à l'hizakaya: sur 15personnes présentes (sur lesquelles on pouvait compter 3 représentantes de la gent féminine), c'est la vieille Europe qui a tenu la bannière bien haute, avec 5 survivants (dont moi, évidemment), tous élevés dans la tradition de l'amitié franco-germanique. Les nord-américains étaient dead environ à la moitié du chemin, et la délégation nippone n'a pas fait mieux. Avec quand même une mention spéciale pour Uemura-san, l'équivalent de notre cher Jacques Lockwood, pour qui le mélange saké-BiRu ne pose pas de problème et qui devient même de plus en plus drôle et intéressant après chaque session Campai!...Assise en face de lui, j'ai quand meme eu droit à l'étymologie de 'campai' pendant 15mn, et à l'histoire du tofu à travers les âges pendant une bonne demie-heure, le tout évidemment dans un pur japanglais du Kansai- ;-)

Après moultes hésitations et errements dûs aux taux d'alcoolémie de mes compagnons germaniques et helvète, on se décide enfin pour le World, night club très sympa, où contrairement au Metro, y'a pas trop de gaijins. Donc, on arrive à l'entrée, et là...LE choc :


Ca, c'est des videurs qui inspirent le respect

La gender-killer party du World nous a donc fait voyager dans un monde étrange, peuplé de barmen aux combinaison en lycra jaune (un peu à la bioman), et d'hôtesses aux chapeaux en tête d'élan. J'ai retrouvé dans ce microcosme d'hallucinés psychédélique le Japon que j'avais adoré lors de mon premier voyage; celui des trucs kawai sur les bordereaux bancaires, des néons acidulés, des mangas et de l'instauration du 'ludique-puéril-kawai' en devise de la nation.


Adrian&l'homme-grenouille

Si le ridicule avait tué, je vous promets que la moitié du club aurait été remplie de cadavres. L'atmosphère de légéreté et d'absence totale de quelque complexe que ce soit a fait de cette soirée une hallucination permanente. Je peux pas mettre en ligne toutes les photos que j ai pu prendre de tous les monstres gentils que j'ai pu croiser, mais je vous jure qu'on serait cru dans un épisode de SailorMoon, avec toutes les petites nanas avec leurs bracelets fluo-qui-brillent-dans-le-noir, et tous ces messieurs déguisés en trucs parfois indéfinissables, mais dont le critère de séléction était sans aucun doute, le ridicule. Bon, alors, sans faire de la psycho-socio de comptoirs, il me semble que ces pétages de plombs collectifs constituent en fait des soupapes de sécurité déstinées à échapper aux pressions sociale et démographique du pays...pfff, tais toi Marie.


Une bouteille de bière déguisée en Japonais et encore moi

Autrement, dans les évenements notables de la soirée, mis à part l'usuel 'gaijin-discount' gracieusement accordée par la direction de l'établissement, le paquet de clopes tout neuf trouvé dans les toilettes des filles, et les SexOnTheBeach à 400Yen, je vais pouvoir me la raconter un peu...Alors que je sirotais mon drink, nonchalemment appuyée contre la rambarde de l'escalier, un beau jeune homme accroche mon attention portée sur rien. En tant qu'occidentale, normal, je lui fais peur et il baisse les yeux quand j'essaye d'établir l'eye-contact. Qu'à cela ne tienne, j'y vais. Grace à Minano Nihongo, je sais conjuguer les verbes depuis mercredi et j en connais déjà 5, alors vaille que vaille, j'arriverai bien à faire passer mes idées...Et oui! j'y suis arrivée! J'ai donc eu le plaisir de faire la rencontre de Takahiko et de ses amis, étudiants en droit (mais pas à KyoDai...:-( ), et faux gangstas à temps partiel. J'ai même son KeitaiBango...


C'est celui de gauche

Après toutes ces aventures et tous ces verres, il s'est fait 5 du mat et le BirthdayBoy et moi avons finalement hélé un TaKuShi pour rentrer dans nos pénates respectives.


World CuReBu wa sugoi desne!!!


En conclusion, les 2 jours de blues/homesickness auxquels j ai du faire face, n'ont fait que rendre la soirée d'hier encore meilleure. Le Japon est vraiment un pays parfois irréel et les Japonais ont, je pense, beaucoup à nous apprendre, tant en matière de chouille, de restauration, et de service au client, que d'identité et de perception de soi et des autres. Oui, ca paraît pas forcement clair comme de l'eau de roche, mais bon, il est tard, je suis rentrée tard hier, et de toutes façons j'aurai l'occasion de clarifier mon propos dans un prochain post. Sur ce, amis du monde entier, je vous salue bien bas et vous tire ma réverence pour ce soir. Ja'Mata! :-)

Thursday, October 27, 2005

Un jour qui sert à rien...

Le Japon est finalement un pays comme un autre...Ce n'est en tous cas pas le paradis. Il y fait froid, il y pleut, les gens te regardent parfois méchamment (tu peux d'ailleurs lire dans leurs yeux 'casse toi, sale gaijin*!'), tu fais peur aux gamins, pourtant trop kawai, tu n obtiens qu'un petit 89% à ton BiGu TeSuTu de nihongo, tu te lèves super tot pour un cours de géologie en japanglais où tu décroches completement à partir du moment où le prof commence à te parler des ondes magnétiques terrestres et que tu constates que 5 des 10 élèves de l'amphi dorment comme des bienheureux, alors que toi tu luttes.

Le Japon, c'est cool, mais tu dois aussi y payer tes factures (10 000Yen en moins chez Mizuho), faire le ménage dans ton micro-appart, constater que tu n'as plus de café-comme-à-la-maison et te résoudre à l'instantané nippon - :'( -faire ta lessive, et oublier une ou deux chausettes dans ta chambre au passage, redépenser 1000Yen pour le séchage (parce que tu peux oublier de faire sécher tes fringues sur le balcon, avec les 90% d'humidité dans l'air), essayer d'écrire un article potable pour ton blog, tenter de ne pas entendre les commentaires salaces de deux canadiens assis en face de moi sur les 'big tits' de telle ou telle 'hot 18years old japanese girl' sortie la veille (Tyler, Aaron, you may not need any translator for that..!), sortir les poubelles en oubliant tes clés, et subconséquemment attendre que quelqu un rentre dans la résidence, et donc te peler dans le froid et dans le noir, parce qu'il n'est que 4.30 de l'après midi.

Il y a des jours aussi comme ca où il faut savoir profiter des petites choses sympathiques que ce monde décadent peut nous offrir...comme un wagon rempli de gamins surexcités qui reviennent d'un field-trip, par exemple.



*appellation pas très très sympa pour toute personne apparemment non affiliée à l'Archipel

Tuesday, October 25, 2005

Le pays de la bonne bouffe (ou presque...)

Se nourrir fait partie des besoins primaires que tout un chacun se doit de satisfaire au moins une fois par jour. Je ne suis pas une exception et je sais que le délicat sujet de l'alimentation perturbe certaines personnes (NTM en particulier). Et je dois bien avouer qu'il est bien préoccupant ce sujet...comment trouver quelquechose à mon goût, eu égard à ma cécité quasi-totale (i.e. mon incapacité à lire les étiquettes), à mes goûts un peu beuacoup pas faciles et aux nombreux items non identifiés florissants dans les linéaires nippons...?


Hmm, mais qu'est ce que c'est...?

Alors moi je veux bien etre au pays du bien-manger, sain, équilibré et tout et tout (même si on est un peu loin du régime crétois), je veux bien bien manger sain, équilibré et tout, mais encore faudrait-il que la gastronomie japonaise veuille de moi! Déjà la première fois que j ai essayé de cuisiner, j'ai senti qu'on allait être faché le manger japonais et moi. Après avoir joué à Champollion pendant 30mn pour trouver les boutons on&off de la plaque électrique, quand enfin la machine se met en branle, je pose la casserole, et là...pouf: ca s'éteint. Je renouvelle l'opération plusieurs fois, et tel un petit animal sur lequel on fait des expériences, comprend que quand il appuie pas sur le bon bouton, il se prend une décharge, j ai fini par comprendre que quand je posais la casserole, ca s'éteignait...Oui, ca parait évident comme ca, mais il faut se mettre dans une situation contextuelle où l'environnement est 1. inconnu et 2.potentiellement hostile. Bien remontée, prête à taper mon scandale à l'office, je pars avec ma casserole réclamer une plaque qui fonctionne. Là, avec ses trois mots d'anglais, la petite concierge m'explique que ma casserole doit etre faite en stainless steel, et non en alu...Dommage, Marie, t'es même pas aussi maline que la plaque, qui elle, sait faire la différence entre aluminium et stainless steel...Depuis, je me limite à faire chauffer de l'eau dans ma belle casserolle en stainless steel, afin de me préparer des oeufs durs (petit dej) ou d'excellents repas instantanés à 100 Yen (soit 95 centimes d'Euro) au diner. Le bol de riz arrosé de soy sauce du restau u suffira pour le midi (et sans tofu, parce que manger un pneu, bien peu pour moi)


Hum! C'est presque meilleur qu'un Bolino hachis parmentier

Donc, pour les orgasmes gustatifs (CGP riprezent!) au Japon, on repassera...Quoique je suis un peu mauvaise langue: je peux me gaver à MacDo, au KFC, au Wendy's de Shijo ou encore au Mister Donut de Kitaoji, et repartir contente et repue... Oh la la la, la honte! elle est au Japon et elle va s'engraisser comme une grosse ricaine..!! Alors déjà, les menus sont bien plus petits que chez nous, mieux faits (j ai eu droit une fois au Big Mac comme sur les photos, trop nickel et qui déborde pas de partout, puisque préparé avec amour par le cuisinier en cdi, pour qui l amour du client signifie quelquechose), et puis, j exagère encore, parce qu'il y a des trucs vachement bons ici. Les sashimis, ca c'est de la tuerie...Un ptit bout de saumon, qui nageait encore quelques heures auparavant dans la baie d'Osaka, avec une pointe de wasabi...hummm. Les tentacules de pieuvre panées (ou crues, même si t'as un peu l'impression de manger un flanby très salé), avec plein de soy sauce, ca c'est bon! Les bons makis (riz+algue+poisson ou légume), ou encore les koalas pleins de chocolat (Gasme peut témoigner des pétages de bide avec ces petites saletés!), ca aussi, ca vaut le coup de faire 10 000 kilomètres.


Octopussy+Asahi=soirée bien partie

Bon, et puis quand meme, ca fait que 3 semaines que je suis arrivée, il faut bien que je m'acclimate...Un jour viendra où j'oserai m'aventurer au Fresco en quête d'aliments nouveaux, sur lesquels j'exercerai mes talents culinaires. Un jour viendra où je mangerai autre chose que du fried chicken et du riz au restau. Un jour viendra où je tenterai le ramen. Un jour viendra où j'arrêterai de regarder chaque étal comme une intoxication alimentaire potentielle. Un jour viendra où j'arriverai à ne plus rêver à une bonne racliflette, ou un gros chili, à une vieille platrée de carbo, ou un selles-sur-cher, à de bonne pommes de terre à la papi ou à une simple baguette...


Mais comment préparer ca...? Peut-être que ca se prépare pas en fait.

Monday, October 24, 2005

Irashaimase!


Eh bien m'y voilà sur la toile! Comme la communication de masse par mails n est pas mon fort, autant faire quelquechose de public et où chacun pourra s'exprimer...surtout moi!
Je vais donc pouvoir vous faire partager mes aventures au pays des sushis et du saké, des clopes à 2euros et de la bière à 3, des geishas et des yakusas, des méga-buildings et des micro-apparts, du soleil levant et de la nuit qui tombe à 4heures de l'après midi... J'alimenterai autant que possible mon appréhension de ce complexe pays aux multiples facettes de photos (merci AU de m'avoir offert un télépone portable!) et peut etre meme de vidéos, si je comprends comment ca marche.
Je ne promets pas non plus une actualisation quotidienne, parce que vous comprenez, entre les cours, le japonais et les soirées-découverte-du-pays-hôte, je suis ultra busy...;-)
Bref, bienvenue "chez moi" et enjoy! N'hésitez pas à mettre des commentaires (Mr de Coco, pas de gros mots...)
Et un joyeux anniversaire à la Clo, avec du retard, en mettant ca sur le compte de la distance et de de la soirée de vendredi au Metro Club (à prononcer Me-Tou-Ro Cu-Re-Bu...le Japonais qui parle anglais, c est à se faire pipi dessus!)

*"bienvenue". en fait les vendeuses dans les shops crient ca à qui veut l'entendre, toutes les 5 secondes. au début, tu te sens obligée de répondre quelquechose ou de faire un sourire, mais tu finis par ne plus y faire attention.